29 mai 2006
Il ne cesse de penser A cette fille attristéeA
Il ne cesse de penser
A cette fille attristée
A cette fille abandonnée
Qu’il a rencontrer
Un simple jour d’été.
Il cessa d’espérer
En l’amour des contes de fées,
Puisque jamais, il ne revit
Cette qui entra beauté dans sa vie.
Cette fille de son côté
Maudissait ce jour d’été
Qui les avait séparé
Séparé pour l’éternité.
Seule la mort les réunirait,
Et ça elle le savait,
De nouveaux les mains se lieraient
Et jamais, non elle ne se quitteraient.
Ils firent chacun un vœux,
Celui de rester toujours deux
De ne jamais se dire adieu
Même au delà des cieux.
de bloody-tears
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