20 juillet 2006
colère
Petit feu de camp aux alentours des gens heureux
Le brasier s’enflamme, de plus en plus dangereux
Poings serrés, les tisons virevoltent sous nos yeux
Moment colérique, un incendie devenu désastreux
Le bois se consume, tout comme moi, brûlante rage
Fumée s’élevant dans le ciel rouge, où est la sage ?
Elle s’embrase, sous les regards noirs qui voyagent
Le vent souffle, la tempête n’efface pas les damages
Peu de temps après, la tension a diminuée, apaisée
Il ne reste que de petites flammèches sans danger
Le courroux et l’emportement est fini, presque oublié
Le feu éteint, la fumée disparue, la rage est achevée
impro de musyka
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